Un homme, un enfant, deux guerres, une rivière, un arbre.
Un homme et un enfant se rencontrent sous un arbre au bord d’une rivière, partageant le même souvenir et un secret. Ils retrouvent l’un dans l’autre la sérénité, le silence et le temps qu’ils ont perdu dans l’eau courante de la rivière.
Une expérience de cinéma totalement spirituelle et philosophique qui convoque tous les sens du spectateur. Proprement envoûtant et d’une prodigieuse intelligence.
L’Arbre (Drvo) d’André Gil Mata, est un film d’une troublante puissance sensorielle. Ce véritable trésor offert à qui acceptera de s’y laisser entraîner révèle un cinéaste qui, littéralement, écrit avec sa caméra.
(Jean-Michel Frondon – Slate )
|