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« Metal Hurlant » à la Gulbenkian

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Published by editeur on 25 février 2019
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L’artiste portugais Alexandre Estrela (1971) vit et travaille à Lisbonne. Il a étudié à la School of Visual Arts de New York. Dans cette même ville il a effectué une résidence dans le cadre de l’International Studio & Curatorial Program. Il est également diplômé en peinture de la Faculté des Beaux-arts de Lisbonne où il enseigne actuellement. Il a réalisé des expositions personnelles au musée de Serralves (Meio Concreto, Porto en 2013), au Musée national centre d’art Reina Sofía (Pockets of Silence, Madrid en 2015-2016), ou au M HKA (Roda Lume, Anvers, en 2016). Il est responsable de l’espace Oporto, à Lisbonne, où il organise des projections de films expérimentaux.

Depuis le milieu des années 90, le travail d’Alexandre Estrela se distingue par sa manière originale et idiosyncratique d’agglutiner et de superposer un large éventail de domaines, de thèmes et de références : des études sur la perception à la science-fiction, de la culture populaire au cinéma et aux arts plastiques. Il convient dans ce dernier cas de souligner son intérêt manifeste pour l’héritage des pratiques expérimentales et conceptuelles qui ont contribué de manière décisive à la formation d’un champ hétérodoxe indéfinissable et inclassable entre les arts visuels et le film expérimental, traduisant une investigation vaste et incisive sur la nature et la portée de l’image.

« Métal Hurlant » a été conçue pour l’espace d’exposition de la Fondation Calouste Gulbenkian à Paris. Au total, elle réunit neuf de ses œuvres récentes, dont quatre inédites. Dans ces œuvres, l’artiste poursuit son exploration de questions et de thèmes liés aux qualités de l’image (technique) en articulation étroite avec les potentialités intrinsèques des dispositifs de prise de vue, d’édition et de diffusion des images, notamment dans le domaine de la vidéo. Pour l’artiste, le caractère éminemment factice et paradoxal de l’image induit tout un champ de possibilités de reformulation – déstabilisation, illusion, expansion – de l’arc des relations et des transmutations entre image, médium et perception. Ainsi, dans cette exposition – et le titre en est un premier indice – la présence d’un type de matériau spécifique est mise en avant : le métal. Un matériau qui devient un objet de thématisation mais aussi une caractéristique de certains des écrans de projection. En ce sens, ce sont des œuvres fortement attachées à leurs conditions physiques et spatiales, qui mettent en lumière les aspects plus proprement sculpturaux et architecturaux du travail d’Alexandre Estrela.

En nous détournant des attentes figuratives pour explorer les potentialités plastiques et les dérivations sémantiques des images, Alexandre Estrela cherche un nouvel horizon perceptuel et artistique, un champ alternatif d’expériences visuelles où les images, au-delà de leur valeur spécifique, remplissent une fonction heuristique, la recherche de liens fructueux entre l’image fixe et l’image en mouvement, entre la figuration et l’abstraction, entre la bidimensionnalité et la tridimensionnalité, entre le son, l’image et la matérialité, les ponctuations d’un univers spéculatif et créatif singulier qui scrute la manière dont les dispositifs technologiques fournissent des processus de passage, de transformation et de reconfiguration du visible.

Exposition ouverte du 13 mars au 16 juin 2019

Fondation Calouste Gulbenkian – Délégation en France
39 bd de la Tour Maubourg 75007 Paris

Source : Fondation Calouste Gulbenkian – Délégation en France

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