Suite à la toute récente venue d’une délégation portugaise accueillie, comme il se doit, par le Comité des jumelages jocondien, les principaux intéressés se réjouissent d’une ouverture dynamique des échanges entre les deux pays.
Christina Tenrevio, adjointe à l’éducation sports jeunesse, Antonio Lima, Ana Paula Silva, Délio Carquejo, directeurs d’écoles, et Rosario Meneses, responsable des affaires internationales de la mairie de Santa Maria, sont arrivés avec des objectifs précis : connaître le fonctionnement d’établissements scolaires et centre de formation qu’ils ont pu visiter avec l’espoir, selon Françoise Bezançon Lesné (vice-présidente du comité pour le Portugal) : « Que de jeunes Portugais viennent en stage en entreprise, à Arsonval et la chambre de métiers. Une mobilité des jeunes à Joué-lès-Tours peut être envisagée, car ceux qui parlent le français sont très demandés dans les secteurs tourisme et commerce. »
Au campus des métiers, le directeur adjoint a présenté le fonctionnement de l’apprentissage en France. Ses invités ont été surpris par l’équipement, les possibilités de formation, la pédagogie de prise en charge des jeunes et toutes les capacités du campus, souhaitant que de jeunes Portugais puissent faire une formation en alternance entreprise-campus.
Un groupe de 50 apprentis de la mécanique sont partis le 23 mars à Porto pour la première fois, ce qui a permis d’organiser, par le biais des jumelages, une journée à Santa Maria.
S’avère aussi positive la visite du lycée d’Arsonval où un professeur envoie deux stagiaires en entreprise dans la région de Santa Maria. Il ira visiter les écoles portugaises pour mettre en place avec Erasmus + la venue de deux enseignants portugais dans l’établissement tourangeau (domaine communication graphique) et de jeunes stagiaires en entreprises (le comité des jumelages s’occupant de l’hébergement).
Des rencontres intéressantes ont été organisées avec l’Apser, au collège de La Rabière, à l’école de musique pour des échanges à venir.
« Les Portugais sont très réactifs, se réjouit Marc Dandault, président du comité. On a vraiment l’impression de concourir à l’idée de jumelage : on met en contact, on est dans le soutien effectif aux personnes. Nous sommes les catalyseurs de rencontres du monde social, professionnel et associatif. »
Source : lanouvellerepublique.fr
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