À LA UNE AUJOURD’HUI: PORTRAIT DE EMPREINTE JO V
15 mai 2020À LA UNE AUJOURD’HUI: PORTRAIT D’ANNE-SOPHIE FERREIRA
15 mai 2020Fille de parents portugais née à Benedita, près d’Alcobaça. Elle se remémore d’un moment « Si je pense à meilleurs souvenirs d’enfance à Benedita, mon cœur va vers les balades dans les bois avec mon grand-père paternel, regarder les arbres en fleur au printemps, la “chasse” aux champignons en automne, mais aussi les après-midis à jouer aux cartes avec ses amis. »
Cheila arrive à Lisbonne à 17 ans pour poursuivre ses études en Sciences Politiques et Relations Internationales à l’université NOVA. Pendant sa dernière année de licence, elle part faire son année Erasmus à Sciences Po Paris, et tombe amoureuse de la capitale française. Elle décide alors de continuer ses études à Sciences Po avec un Master en Affaires européennes et puis de commencer sa carrière en tant que chargée de projet international à Paris.
De retour à Lisbonne, après presque 14 ans en France, elle nous dit « je retrouve le soleil et le bon vivre portugais. J’ai toujours aimé Lisbonne, et j’adore la voir encore plus cosmopolite, plus internationale. Je reste connectée à la France et à Paris via les amis mais aussi via Cap Magellan, en collaborant toujours à la rédaction de la page Sport de CapMag. »
Cheïla, ancienne rugbywoman, partage son parcours dans cette discipline « j’ai connu le rugby grâce à ma prof’ d’EPS qui nous a fait découvrir le sport, malgré une classe composée entièrement de filles. En voyant quelques motivées, l’année suivante, mon année de terminale, elle monte une équipe féminine et j’en deviens la première capitaine. En arrivant à la fac à Lisbonne il n’y avait pas de championnat de rugby universitaire donc j’ai quitté le sport, et je n’ai repris qu’en arrivant à Sciences Po. Cela m’a permis de mieux m’intégrer dans l’école et de faire des amis pour la vie. Après mon diplôme, je rejoins le Rugby Club Paris 15 au poste de pilier gauche où j’ai vécu mes plus belles années de rugby, avec une magnifique saison en Challenge Armelle Auclair (le deuxième niveau du rugby français féminin). En parallèle, j’ai rejoins l’association LARGE – Ligue des Anciens Rugbymen de Grandes Ecoles, où je me suis occupé de développer le tournoi féminin et les activités du réseau. »
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