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21 juillet 2021São Miguel : L’île verte
23 juillet 2021Découvre le portrait de Claire, une jeune lusodescendante :
Je m’appelle Claire Pimenta, j’ai 23 ans et j’habite en région parisienne. Ce qui m’inspire au quotidien ce sont les petites choses de la vie comme mes amis, ma famille et surtout mes parents qui ont tout quitté pour une vie meilleure !
Actuellement, je suis à la recherche d’une alternance dans le domaine de la communication. Plus tard j’aimerais créer ma propre entreprise.
Quel est ton lien avec le Portugal ?
Je suis d’origine portugaise, ma maman vient d’un petit village nommé Casalinho et mon papa d’un autre nommé Quatro Lagoas ! Ce lien avec le Portugal se manifeste au quotidien par la parole, car je parle avec mes parents en portugais. J’écoute énormément de musique lusophone, je suis l’actualité, je regarde même des télénovelas avec ma maman.
J’ai suivi un parcours scolaire classique en France, puis je me suis dirigée vers une LEA Anglais-portugais. Je pense qu’à ce moment-là je ressentais le besoin de me reconnecter à cette partie de moi-même et à la lusophonie en général. Après l’obtention de ma licence, j’ai voulu poursuivre avec un master en communication, malheureusement je n’ai pas trouvé d’alternance (trop peu d’offres et pas d’expérience professionnelle) mais je n’ai pas baissé les bras et je me suis dirigé vers un service civique. C’est ainsi que j’ai passé huit mois au sein de l’association Cap Magellan. J’ai acquis de nouvelles compétences, j’ai vécu des choses inoubliables et surtout j’ai rencontré des personnes incroyables !
Le Portugal c’est autant chez moi que la France ! Je m’y sens pas étrangère, je m’y sens chez moi. J’ai de la chance, car mes parents ont tenu à ce que j’apprenne le portugais à l’école et je leurs en remercie aujourd’hui.
Un mot en portugais ?
Ce n’est pas un mot, mais plutôt une phrase que ma grand-mère me répète souvent :” De vagar é que se vai ao longe”
Le message que j’aimerais faire passer c’est : soyez vous-même, bienveillant, ce n’est pas grave si vous baissez les bras, mais gardé à l’esprit que “la plus grande gloire n’est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute”.